“ […] avec la force de Dieu, prends ta part des souffrances liées à l’annonce de l’Évangile.” (2 Tm 1, 8)
Bienheureuses sont donc les âmes qui boivent le calice avec Notre Seigneur, qui se mortifient, portent la croix et souffrent amoureusement pour son amour, et qui reçoivent également de sa main toutes sortes d’événements. (Sermon du 6 mai 1616 ou 1617)
Aujourd’hui j’entrerai dans une église et j’irai me mettre à genoux quelques instants devant le Saint-Sacrement en demandant le pardon et la force.