En tes mains je remets mon esprit. (Ps 30, 6)
Ainsi le sacré Concile de Trente inculque divinement à tous les enfants de l’Église sainte, que la grâce divine ne manque jamais à ceux qui font ce qu’ils peuvent, invoquant le secours céleste ; que « Dieu n’abandonne jamais ceux qu’il a une fois justifiés, sinon qu’eux-mêmes les premiers l’abandonnent. » (TAD IV, 5)
Je rends grâce pour la fidélité du Seigneur et je lui demande pardon pour mes fidélités.