[…] Notre chère Première Mère a été son avocate auprès de Jésus pour obtenir sa conversion. Sa protection a été très visible […]
France, 1896
Je ne veux pas terminer ma lettre sans vous demander une bonne prière pour un franc maçon du village mort après s’être réconcilié avec le Bon Dieu. Notre chère Première Mère a été son avocate auprès de Jésus pour obtenir sa conversion. Sa protection a été très visible. Ce pauvre franc maçon s’est confessé, le portrait de la fondatrice des Filles de Saint François de Sales sur le cœur. Que le Bon Dieu soit béni !
Paris 1891
Quelques jours après le départ pour le Ciel de notre chère Première Mère, je reçus la mauvaise nouvelle que mon beau-frère venait de perdre la place qu’il occupait depuis vingt-deux ans. Le lendemain commençait la neuvaine de la Société pour le repos de l’âme de notre vénérée défunte. Je m’adressai à elle en lui disant : « Ma Révérende Mère, je crois que vous êtes auprès du Bon Dieu, je fais cette neuvaine par obéissance. Je m’abandonne à votre conduite et vous demande votre protection pour ma famille. Obtenez à mon beau-frère un emploi qui permette à tous les miens de servir le bon Dieu. » Je sentis mon âme pleine de confiance. Le dernier jour de la neuvaine, je chantais en mon cœur le Magnificat tant j’étais assurée que notre Première Mère me montrerait sa protection. Le lendemain, nous apprenions que nous pouvions compter sur la place désirée pour mon beau-frère.