J’étais atteinte depuis longtemps déjà d’une infirmité très douloureuse […] je m’adressai à notre Première Mère. J’éprouvai aussitôt un mieux tellement sensible que la personne qui me soignait me demanda avec stupéfaction quel remède j’avais employé. […]
France, 1896
J’étais atteinte depuis longtemps déjà d’une infirmité très douloureuse et que la modestie me faisait un devoir de dissimuler le plus possible. Obligée de faire un voyage assez long dans cet état, j’en éprouvai une telle augmentation de souffrance qu’à mon arrivée, je me vis clouée dans mon lit, presque sans mouvement. La pensée de voir un médecin me répugnait extrêmement. C’est alors que je m’adressai à notre Première Mère. J’éprouvai aussitôt un mieux tellement sensible que la personne qui me soignait me demanda avec stupéfaction quel remède j’avais employé. A la demande de Mlle S., je commençai une neuvaine. Le mal dont je souffrais disparut complètement, et depuis environ six mois, je n’en ai pas ressenti la moindre atteinte.
France, 1892
Notre fille, atteinte d’une fièvre muqueuse, s’est alitée le 22 mars et son état s’aggravant tous les jours, nous avons demandé beaucoup de prières pour obtenir sa guérison, et une neuvaine à Madame Carré de Malberg. Le 9 avril, jour où se terminait cette neuvaine, notre fille fut prise, à une heure de l’après-midi, comme tous les jours, d’une fièvre plus intense qui la mettait dans un accablement complet ; son état inquiétait tellement le médecin qu’il proposa une consultation pour le lendemain. A deux heures, ce 9 avril, elle se réveilla comme d’un rêve et nous dit : “Je me sens guérie !”. Depuis ce moment, la fièvre disparut, elle entra en convalescence et sa guérison complète suivit rapidement.