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Je chanterai le Seigneur pour le bien qu’il m’a fait

Vendredi 3 mars

« Ce n’est pas en jeûnant comme vous le faites aujourd’hui que vous ferez entendre là-haut votre voix. »   (Is 58, 4)

Je vous souhaite un courage grand et non point chatouilleux ; un courage qui, tandis qu’il peut dire bien résolument : VIVE JÉSUS ! sans réserve, ne se soucie point ni du doux ni de l’amer, de la lumière ni des ténèbres. Hardiment, ma Fille, cheminons en cet amour essentiel, fort et impliable de notre Dieu.          (Saint François de Sales, Lettre à Jeanne de Chantal, 9 août 1607)

Le jeûne à lui seul ne saurait suffire, il nous faut prier et surtout accomplir la Volonté de Dieu, c’est-à-dire aimer comme Il nous aime. Aimer Dieu d’un amour sans bornes, aimer son prochain et s’aimer soi-même. Être patient, doux, miséricordieux comme Lui.

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Pour aller plus loin

Il n’est jamais trop tard pour Dieu ou croire au purgatoire !

En ce jour de prière pour nos défunts, nous nous appuyons sur la conviction de foi qu’après la mort et avant l’entrée dans le ciel de Dieu, il est possible d’aider celles et ceux qui nous ont quittés à accéder au salut promis. Contrairement à de nombreuses Églises protestantes, l’Église

Les oeuvres

Être Fille de St François de Sales (5) : une vie mariale par l’exemple

Être des auxiliaires du prêtre auprès des âmes, par l’exemple et par « les œuvres de miséricorde »             Dans notre chronique précédente, nous avions vu comment les Filles de Saint-François de Sales peuvent être, comme Marie, auxilaires du Christ présent par le ministère du prêtre.             Aujourd’hui, nous ouvrons un deuxième

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