Ailleurs dans le monde : AllemagneUSA

Parabole du pharisien et publicain 

Samedi 9 mars

« Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” (Lc 18, 10-13)

On peut prier [en parlant] directement à Dieu, comme fit le publicain… Il est vrai que ce Dieu auquel je veux parler est très haut, et que moi je ne suis que poudre, cendre, poussière et chose de nul prix ; néanmoins je parlerai à mon Seigneur, d’autant qu’il est mon Créateur et que je suis sa créature… Le publicain reçut la rémission de ses péchés. (Sermon pour la Toussaint, 1er novembre 1621)

Je lis lentement le Notre Père, en essayant de voir ce qu’il me dit aujourd’hui.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Pour aller plus loin

Annonciation

Regarder Marie et le mystère de l’Église avec le Père Chaumont

C’est un nouveau chapitre que nous ouvrons après avoir regardé Marie et la première communauté chrétienne, dans les Actes des Apôtres : la discrétion de sa participation « de l’intérieur » au groupe des premier disciples, sa place d’ « auxiliaire » de son Fils, sa « souplesse active » envers d’Esprit-Saint, ainsi que la complémentarité féconde entre

Marie auxiliaire de Jésus

Marie devient auxiliaire de Jésus

Aujourd’hui : en pratiquant la souplesse active à l’égard de l’Esprit-Saint, Marie se révèle – elle devient entièrement – l’auxiliaire de Jésus. Que dit le Père Henri Chaumont : Dans la probation « Être Marie » , Henri Chaumont donne une grande insistance à ce rôle[1] d’auxiliaire de Jésus qu’a reçu la Vierge Marie[2], et

Marie, les apôtres et l'Esprit-Saint

Marie, mère de Jésus et l’Esprit Saint

Avec Marie, mère de Jésus, et les premiers chrétiens, exercer « la souplesse active à l’égard de l’Esprit Saint » Le livre des Actes des Apôtres est le livre de l’Esprit Saint : Il s’ouvre avec la promesse de Jésus : « Vous allez recevoir une force, celle du Saint Esprit qui viendra sur vous. »[1]

Optimized by Optimole