Alors, ils lui demandaient : « Toi, qui es-tu ? » (Jn 8, 25)
Ô Bien-aimé de mon âme, je ne désire pas avoir le pouvoir de vous donner quoi que ce soit ; je me complais plutôt, et de tout mon cœur, en votre suprême bonté à laquelle, ni par désir, ni même par pensée, on ne peut rien ajouter. (TAD V, 6)
Seigneur, qui es-tu aujourd’hui pour moi ? Un Dieu lointain ? Un Dieu exigeant ?
Un Dieu de bonté et de miséricorde ?
Montre-moi ton visage Seigneur !