Prendrais-je donc plaisir à la mort du méchant – oracle du Seigneur Dieu – et non pas plutôt à ce qu’il se détourne de sa conduite et qu’il vive ? (Ez 18, 23)
Lorsque les pécheurs sont le plus endurcis en leurs péchés, qu’ils sont venus à un tel point qu’ils vivent comme s’il n’y avait pas de Dieu, de paradis ni d’enfer, c’est alors que le Seigneur leur découvre les entrailles de sa pitié et douce miséricorde. (Sermon du 20 décembre 1620, IX 440)
Seigneur, éclaire-moi sur ma conduite, mon regard, et aide-moi à poser un acte pour lutter contre mon mauvais esprit.