Je change leur deuil en joie, les réjouis, les console après la peine. (Jr 31, 13)
Il me semble que mon âme est un peu plus solidement établie en l’espérance qu’elle a eu, de pouvoir un jour jouir des fruits de la mort et résurrection de Notre Seigneur. (A Mme de Chantal, avant le 6 mars 1620)
Seigneur, Tu connais mon cœur mieux que moi.
Au cours de cette journée, je rentrerai dans une église et déposerai devant Marie, elle dont le cœur a été transpercé, tout ce qui assombrit le mien.