“Ma sœur, Mme C., étant très malade, j’ai commencé une neuvaine à Mère Jeanne de Chantal, Madame Carré de Malberg, le 1er août. Le 9, je suis allée la voir : aucun changement dans son état. J’ai continué mes prières et six jours après, les progrès étaient si réels qu’elle commençait à se lever et vers les premiers jours de septembre, elle était complètement rétablie. Actions de grâce à celle qui, nous l’espérons, sera un jour sur nos autels.” (Paris, 1897)
“J’ai confié à Mme Carré mon petit neveu Mathias qui a été opéré en décembre 1987 d’une tumeur au poumon. Elle s’est révélée bénigne, mais susceptible de devenir cancéreuse. Alerte en avril 1989… la vérification de décembre 1990 a été très satisfaisante. La prochaine n’aura lieu que dans deux ans.” (Vienne, Autriche)
“Le 15 décembre, le petit B., âgé de deux ans et demi, est brûlé au troisième degré sur 60% de la surface du corps. Il est admis en urgence en réanimation infantile, où les médecins réservent leur pronostic. Mais ils sont formels, si l’enfant s’en sort, ce sera très long. Une Fille de Saint François de Sales amie de sa tante recommande B. dans ses prières et confie ce cas désespéré à Mme Carré, la fondatrice. L’enfant passe le cap difficile, les médecins parlent de greffes à pratiquer plus tard, d’une hospitalisation de plusieurs mois. Mais de semaine en semaine, l’amélioration est sensible. Fin janvier, soit un mois et demi après l’accident, on prévient les parents qu’ils vont pouvoir reprendre leur enfant le lendemain ! La famille n’en croit pas ses oreilles. Dès le lendemain, elle vient chercher l’enfant qui est revêtu d’une combinaison spéciale à porter au moins deux ans. Quant aux greffes prévues, il n’en est plus question.” (France, 1989)