Ailleurs dans le monde : AllemagneUSA

Bénis le Seigneur, ô mon âme

Vendredi de la 4° semaine de Carême

“Soumettons-le à des outrages et à des tourments ; nous saurons ce que vaut sa douceur.”  (Sg 2, 19)

L’esprit de douceur est celui qui ravit les cœurs et gagne les âmes. (Saint François de Sales,  EA XII, p. 272)

Dans notre entourage : famille, travail, quartier, nous pouvons être confrontés à toutes sortes d’oppositions, d’humiliations. Dans ces moments, il est important de garder son calme pour faire face à la situation. Cachons-nous dans le cœur de Jésus doux et humble, pour y retrouver force et paix.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Pour aller plus loin

Marie auxiliaire de Jésus

Marie devient auxiliaire de Jésus

Aujourd’hui : en pratiquant la souplesse active à l’égard de l’Esprit-Saint, Marie se révèle – elle devient entièrement – l’auxiliaire de Jésus. Que dit le Père Henri Chaumont : Dans la probation « Être Marie » , Henri Chaumont donne une grande insistance à ce rôle[1] d’auxiliaire de Jésus qu’a reçu la Vierge Marie[2], et

Marie, les apôtres et l'Esprit-Saint

Marie, mère de Jésus et l’Esprit Saint

Avec Marie, mère de Jésus, et les premiers chrétiens, exercer « la souplesse active à l’égard de l’Esprit Saint » Le livre des Actes des Apôtres est le livre de l’Esprit Saint : Il s’ouvre avec la promesse de Jésus : « Vous allez recevoir une force, celle du Saint Esprit qui viendra sur vous. »[1]

Marie mère de Jésus

Marie, mère de Jésus, l’auxiliaire de son Fils Jésus

Marie, mère de Jésus, et la première communauté chrétienne. Aujourd’hui : avec les premiers disciples, considérer Marie comme l’auxiliaire, la coopératrice de son Fils Jésus. Retrouvons la première communauté chrétienne de Jérusalem. Nous pouvons nous l’imaginer, nous y joindre. Il y règne une véritable fraternité, une joie profonde de la résurrection

Optimized by Optimole