J’ai obtenu une grâce par l’intercession de Mme Carré de Malberg. Ma fille ne trouvait pas où s’installer comme médecin, presque deux ans après sa thèse. Après avoir prié Mme Carré, j’ai eu un jour un appel d’un médecin de B. qui la réclamait pour une association. (France, 1990)
Ma fille, ses études terminées, cherche du travail. En province : rien. Je me souviens que Mme Carré s’occupe des familles. Dans ma prière du soir, je jette un cri vers elle, mon cri est vraiment prière. Le lendemain, ma fille est convoquée à Paris, passe des tests, des entretiens, et avant de commencer à travailler trouve un studio à proximité du bureau. Je pense que Mme Carré y est pour quelque chose, je la remercie et du coup, je lui confie toute la famille. (France, vers 1990)
Mon fils menait une vie irrégulière et insoumise. Pendant le mois du Sacré Cœur, je priais pour obtenir la grâce de connaître sa vocation. Sur les conseils de M. j’ai commencé une neuvaine à notre Première Mère, lui demandant de bien vouloir manifester, avant les vacances, la volonté de Notre Seigneur. Le 4 juillet, le cœur de mon fils était changé, il m’écrivait une lettre de repentir. Il voulait se faire religieux et avait choisi par humilité l’ordre des Capucins. Notre Première Mère avait fortifié sa volonté, car il suivit avec énergie les conseils du Supérieur et de son ancien professeur. (Lyon, 1892)