J’ai connu la Vénérable Caroline Carré par un Prêtre de Saint François de Sales qui m’a conseillé de la prier. Je me trouvais dans une situation conjugale difficile, mon mari souffrant de dépression depuis plusieurs années. La situation me paraissait insupportable et sans issue. Ayant embrassé ma croix, comme ce prêtre me le recommandait, j’ai pris l’habitude de confier à Caroline notre situation conjugale et familiale. Je sens sa présence maternelle surtout dans les moments difficiles. Je reçois souvent par son intercession des grâces pour rester confiante et patiente. Je confie à son intercession les relations conflictuelles entre mon mari et mon fils. J’obtiens les grâces que je demande pour trouver ma juste place. Je me suis souvent confiée à elle lorsque je cherchais un accompagnateur spirituel, j’ai été exaucée au-delà de mes espérances. (2021, Paris)
Souffrant d’un panaris, je m’en remis aux soins du médecin. Mlle B. me conseilla de poser la relique de la Vénérable sur le pouce malade. L’ostéite persistait, malgré coups de bistouri, grattage de l’os, pommades, l’infection était profonde. Je continuais neuvaines sur neuvaines devant le tombeau de la Vénérable. En avril, l’infection cessa, la plaie cicatrisa, le pouce où n’existait plus que l’ongle reprit chair. Le médecin, qui avait craint de devoir amputer la phalange, me laissait entrevoir que je m’en ressentirais toujours. Je n’en ai plus jamais souffert. Seul un creux léger au bout du doigt atteste l’endroit de la plaie. (1947, Lorry)