Apprenant que cette amie souffrait d’une grave infection pulmonaire contractée en soignant sa sœur, je lui rendis visite. A mon arrivée, le docteur avait perdu tout espoir de la sauver, le prêtre lui avait administré les sacrements. Je lui fis embrasser la relique de Madame Carré que j’avais apportée et la laissai sur son oreiller. Deux jours plus tard, j’ai su qu’elle allait mieux. Je la trouvai rayonnante de joie. Son frère me dit que l’amélioration s’était produite aussitôt après que j’aie posé la relique. Aujourd’hui mon amie va très bien et éprouve le besoin de rendre grâce à notre Vénérable et de propager la dévotion. (1918, Italie)
A la fin de l’hiver, j’ai été prise de douleurs dentaires que ni médecin, ni dentiste ne réussirent à calmer. On décida une extraction, mais le dentiste échouait malgré plusieurs tentatives. L’intervention d’un chirurgien semblait nécessaire, puisque les moyens ordinaires s’avéraient impuissants. Après une neuvaine pour l’intercession de Caroline, l’intervention se déroula avec une facilité incroyable et sans incident, et la dent, fortement barrée, ne causa aucun déchirement. “Je ne sais pas quel est le saint que vous avez invoqué, dit le dentiste, mais il y a là certainement quelque chose d’extraordinaire”. (1894, France)