Depuis deux ans, je réclamais vainement le paiement d’une somme qui m’était due ; de nombreuses lettres et démarches étaient restées sans résultat. Le Père L. me conseilla de faire une neuvaine à Madame Carré, en lui exposant tout simplement ma demande. Je suivis ce conseil en me disant : si je réussis, ce sera un vrai miracle. Avant la fin de la neuvaine, la somme entière me fut payée, et de bonne grâce, comme je l’avais spécialement demandé à notre chère Mère qui recommandait tant la charité à ses Filles. (France, 1895)
Notre Première Mère m’a obtenu une grâce toute particulière le jour même de sa fête. Chaque année depuis dix ans, mon frère se présentait à un examen dont dépendait sa promotion, mais il échouait à cause du calcul. Le découragement s’était emparé de lui, il disait qu’il finirait par se suicider, ce qui me mettait dans de mortelles angoisses. Cette année, je confiai le résultat de l’examen à madame Carré, une amie pria avec moi et contre toute attente, mon frère réussit deux problèmes sur trois. Le résultat se faisait attendre et c’est le jour de la fête de sainte Jeanne de Chantal que la bonne nouvelle est arrivée. Je continue à prier notre Première Mère pour la conversion de mon frère. (1895, France)