« Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine… » (Jn 5, 7).
La divine Providence, en effet, fait de beaux chefs-d’œuvre avec les intentions tordues et sinistres, comme il fait entrer en son festin les boiteux et les aveugles. (Saint François de Sales, 17° Entretien spirituel)
Comme ce paralysé, nous sommes enclins à dire au Seigneur : « Seigneur, je suis seul, personne n’est là pour moi. Je ne peux même pas faire un pas de plus tant je suis épuisé physiquement, moralement. Je ne puis même pas t’invoquer.
Écoutons Jésus nous dire tout bas : « Lève-toi, prends ton brancard et marche. » « Ne crains pas, je suis là. »