Témoignage reçu d’Algérie
Tout a commencé dans ma cuisine, entre casseroles et marmites, mon cœur déchiré par les humiliations de vivre avec un mari instable et manipulateur, qui ramenait chaque jour une nouvelle conquête sous mon toit et cela depuis plus de 35 ans. Ce jour-là, le visage de Caroline s’est imprimé dans ma tête comme pour faire cesser mes larmes, ma colère et des douleurs musculaires incessantes. Je lève la tête, prends un temps de prière et demande à Caroline : « Vénérable mère, comment faisais-tu pour tenir le coup entre les douleurs, la fatigue et la mission d’être une bonne épouse, une chrétienne qui pardonne chaque jour. J’ai peur de ne plus pouvoir rien gérer. »
Dans la semaine, et pour la première fois, aidée par ma famille qui ne savait rien de ma vie de couple, un changement incroyable s’est fait. Je suis passée d’un chaos infernal et interminable, à une vie paisible. Mon mari vit aujourd’hui à 500 mètres de chez moi. Les serrures changées, plus de maîtresses sous mon toit et un mari qui devient voisin et dépose tantôt des fleurs, tantôt des croissants le matin. On se retrouve une fois par semaine pour les courses, qu’il prend en charge pour la première fois, ainsi que travaux et factures. Et pour la première fois de ma vie, je suis sortie avec lui hier pour une virée en bord de mer, manger du poisson et me laisser rafraîchir par les vagues sur les rochers, comme pour dire que je ne rêve pas. J’ai pris ma retraite avec la souffrance et l’humiliation, je me relève, cette paix est installée. Et je me retrouve pour la première fois avec mon petit-fils et mon fils que je ne voyais plus à cause d’un divorce difficile. J’ai l’impression de vivre un rêve. Merci Caroline, Merci Seigneur ! (Algérie, 2022 )
Témoignage de France
Anémiée au dernier degré depuis des années, j’étais sujette à des évanouissements fréquents et subits. A la demande de mon amie Mlle B., je consultai un nouveau médecin, qui m’ordonna différents remèdes que je ne supportai pas. Cependant, je me sentais moins faible. Quand je revis le médecin trois semaines plus tard, il me dit que le changement était inexplicable ; s’il ne m’avait pas vue trois semaines auparavant, il ne pourrait croire au diagnostic. J’en parlai à mon amie qui me dit avoir sollicité ma guérison par l’intervention de Mme Carré de Malberg, la demandant pour le 1er avril. Nous étions le 30 mars, elle était donc pleinement exaucée. (France, 1894)