Un cancer du rein avec métastase au poumon a été découvert chez le mari de Carmen. Après la neuvaine, il a récupéré d’un seul coup, a même pu partir en vacances avec sa femme. Mais le Seigneur en a décidé autrement. Le mal a repris, il est en phase terminale. Nous continuons à prier pour lui. Ce qui est frappant, c’est qu’il n’a absolument aucune douleur, il ne prend aucun calmant, et Carmen est très paisible et forte malgré l’immense douleur de voir son mari partir. (Chili 1995)
Quand le médecin m’apprend que la santé de mon père est gravement compromise et qu’il pourrait mourir subitement, je ne pense qu’à sauver son âme. A 72 ans, il ne s’est pas approché de la Sainte Table depuis sa Première Communion. Je commence une neuvaine le 19 janvier pour terminer le 28. La veille, les obstacles se multiplient, mais le 28 est le jour de triomphe de notre Première Mère et j’obtiens sans difficulté la promesse de mon père qu’il se confesserait le lendemain. Ce jour-là, en la fête de saint François de Sales, mon père s’agenouille aux pieds du prêtre qui lui donne l’absolution. L’intervention de notre Première Mère est manifeste et c’est à elle que je dois cette grâce inestimable. (France, 1895)