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Jeanne de Chantal, une vie vertueuse (I)

Ce 12 août, jour où l’Eglise fête Jeanne-Françoise de Chantal, avec Mary O’Connell (Ancienne Conseillère salésienne) nous commençons un nouveau chapitre sur la vie de Jeanne, plus particulièrement sa vie vertueuse.

Dans l’ouvrage Réponses de Notre Saintes Mère, Jeanne-Françoise de Chantal dit à ses sœurs qu’elles doivent faire toutes choses paisiblement ; que cela aura une influence sur leur vocation.

Qu’y a-t-il à dire là sinon que nous fassions toutes nos œuvres avec un esprit de paix et d’amour ; et attirées par l’odeur des saintes vertus de Notre Seigner, nous courions gaiement et amoureusement en la voie de ses volontés, ne nous laissant pas tirer et pousser comme des esclaves. Car si nous ne faisons le bien d’une franche et sincère volonté, excitées du zèle de la gloire de Dieu et de notre salut et perfection, nous n’y parviendrons jamais et nous rendrons infructueuse la grâce de notre vocation.

Dans une lettre à toute la Visitation peu avant sa mort, sainte Jeanne écrit qu’elle désire que le monastère d’Annecy soit reconnu comme mère et modèle de toute l’institution.

Et je vous prie, mes très chères sœurs, de continuer en cette union comme vous avez fait jusqu’ici. Que les premiers et principaux monastères aient toujours soin des petits et soient prêts, autant qu’il leur sera possible, de les secourir et assister charitablement. Je vous prie d’avoir soin de la paix de Dieu entre vous et de l’union charitable entre les monastères, bonheur qui vous obtiendra de très grandes grâces de Dieu.

Mary O’Connell – Ancienne Conseillère pour les Etats-Unis

Prière de Sainte Jeanne de Chantal
Seigneur, bonté souveraine, 
Je m’abandonne entre tes bras, dans les joies et les peines.
 Conduis-moi où il te plaira : je ne regarderai pas le chemin à suivre. 
Je ne regarderai que toi, ma providence, ma force, mon rempart. 
Je ne regarderai que toi qui me guides comme une vraie mère.
Je suivrai le chemin que tu me traces, sans jamais regarder, 
ni éplucher les causes des évènements, sans me poser trop de « pourquoi ».
Les yeux fermés, je ferai ta volonté et non pas la mienne. 
Je me tiendrai en repos, sans désirer autre chose que ce que tu m’inspireras de souhaiter.
Je t’offre cette résolution Seigneur : je te demande de la bénir.
J’y serai fidèle en me méfiant de ma faiblesse et en m’appuyant sur ta bonté, ta libéralité, ta miséricorde. 	
Seigneur j’ai une confiance totale en Toi.
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