Ailleurs dans le monde : AllemagneUSA

Le Père et le Fils sont liés, à la vie, à la mort

Mercredi 14 mars

« Celui qui ne rend pas honneur au Fils ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé. » (Jn 5, 23)

C’est le bon Jésus qu’il nous faut enfanter et produire en nous-mêmes. (Lettre à Sainte Chantal, 24 janvier 1604)

Sans l’Esprit Saint, nous ne pouvons pénétrer ce mystère du Fils et du Père. Jésus est l’envoyé du Père, le Fils du Père. Il est venu accomplir l’œuvre du Père et annoncer sa Parole.
Esprit Saint, ouvre grandes les portes de mon cœur pour « enfanter » Jésus en moi. 

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Pour aller plus loin

la création

UN TEMPS POUR LA CRÉATION

Depuis le 1er septembre, nous sommes entrés dans le Temps œcuménique de la Création qui réunit orthodoxes, protestants et catholiques pour prier, contempler, louer le Seigneur et agir pour la sauvegarde de notre maison commune. Dans son message inaugural de la journée de prière pour la sauvegarde de la Création, le pape François présente le thème pour cette année, thème tiré du livre du prophète Amos (5,24) : « Que la justice et la paix se répandent. »

Eudokia-servir-jusqu'au-bout-de-notre-age

EUDOKIA (qui signifie la bonne volonté de Dieu)

Nous commençons la publication d’une série d’articles que nous appellerons Eudokia, la bonne volonté de Dieu.
Ces articles ont fait l’objet d’une publication dans le Lien salésien au début des années 2000. Nous remercions l’auteur pour l’autorisation de publication sur notre site.
Le Père Chaumont nous demandait d”être des femmes de l’Évangile et des Actes des Apôtres.
« Ces articles sont donc dans cet esprit de fidélité à l’enseignement du père Chaumont. Après les femmes rencontrées dans les Actes des Apôtres, j’y ai inclus Marie, qui était bien aussi, en premier lieu, une femme des Actes des apôtres, puis j’ai repris Marie en suivant les chapitres du père Chaumont : dans ce même esprit de fidélité à notre fondateur, je continuais les articles Eudokia, et reprenais la probation du père Chaumont, Être Marie. (Note de l’auteur)