Ma femme s’étant trouvée très dangereusement malade par suite d’accident survenu dans le deuxième mois de sa grossesse, il lui a été appliqué sur la poitrine un morceau de vêtement porté par Mme Carré de Malberg, et j’ai été heureux de constater que le neuvième jour, la malade, qui éprouvait une répugnance invincible pour tout remède, était hors de danger. C’est pourquoi je suis profondément reconnaissant. (Paris, 1894)
Au cours d’un grand voyage l’hiver dernier, j’ai remarqué que mon mari semblait amaigri et plus petit. Il a commencé à présenter des symptômes de Parkinson : raideur des muscles, démarche lente et traînante, parler bas, anxiété. Au retour, le spécialiste supprime un des traitements, mais certains symptômes persistent. Son généraliste ordonne un scanner. On nous dit qu’il y a une tumeur rénale à droite et des grosseurs aux surrénales, au foie et au pancréas. Une IRM est pratiquée. Le spécialiste ne diagnostique pas de cancer, mais prescrit une IRM dans un an pour faire le point. Le néphrologue regarde les examens et donne à mon mari le choix entre la chirurgie, une autre technique d’extraction ou attendre quatre à six mois et refaire les examens. Il choisit d’attendre, une IRM à l’automne devant permettre de mesurer l’évolution et la nécessité d’opérer. Entretemps, nous avons demandé à la famille et aux amis de prier par l’intercession de Mme Carré de Malberg. Nous pensons sérieusement que ce sont ces prières qui nous ont sauvés des conséquences qui auraient pu être très différentes. Nous savions que Dieu était avec nous à chaque pas. Nous sommes très reconnaissants. Mon mari a retrouvé environ 95% de sa forme antérieure. (USA, 2022)