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Reconnaissance et merci à Caroline

“Depuis plusieurs mois, ma mère s’affaiblissait, se nourrissant de moins en moins. Elle tomba malade le 3 mai, jour de la Pentecôte, d’une congestion pulmonaire. Le docteur fut surtout inquiet à cause de son grand âge, 84 ans, et de sa grande faiblesse. Dès le lendemain, elle se trouva subitement mieux après avoir dit péniblement un Pater en l’honneur de notre Vénéré Père. Ce mieux dura deux ou trois jours, puis survint une rechute. Le mal empira au point que le premier vendredi du mois de juin, il fut jugé urgent de lui administrer les derniers sacrements. Ma pauvre mère demeura ainsi entre la vie et la mort jusqu’au 22 juin, lorsqu’en ce jour de présentation du Décret de Vénérabilité de Notre Première Mère, il nous vint subitement la pensée de l’invoquer de suite sous son glorieux titre, persuadés qu’en ce beau jour, le bon Dieu ne pouvait rien lui refuser. Dès ce moment, en effet, le mieux survint et continue si bien que depuis plusieurs jours, la chère malade a retrouvé un appétit qu’elle n’avait plus depuis longtemps, aussi les forces reviennent, elle reste levée cinq à six heures par jour et commence à marcher dans l’appartement. Sans exception, les personnes qui l’ont vue malade sont d’avis que cette guérison est surnaturelle. Pour nous, nous ne doutons pas que cette guérison soit due à notre Vénérable Première Mère et ne savons comment lui en témoigner notre reconnaissance.” (St Mandé, France, 1909)

“Nous tenons à vous signaler une grâce obtenue par l’intercession de Madame Carré de Malberg. Mademoiselle R., probatrice de plusieurs d’entre nous, longtemps directrice du groupe, est maintenant âgée de 89 ans. Depuis l’automne dernier, elle souffre d’une décalcification et d’une grande faiblesse de la colonne vertébrale, ce qui lui provoque des douleurs terribles l’empêchant de vivre normalement. Mais elle a du mal à admettre de devenir “dépendante”. Notre groupe a décidé de faire une neuvaine à Mme Carré. Très rapidement, Mlle R. a commencé à admettre son état, et la possibilité d’entrer dans la partie médicalisée de sa Maison de Retraite. Encore fallait-il trouver une place. Le miracle est intervenu : il s’est trouvé une place libre dans une chambre qu’elle n’aurait pu rêver mieux, et elle a pu s’y installer de suite. Un nouveau traitement a permis d’atténuer ses douleurs, et elle garde toutes ses facultés intellectuelles et spirituelles. Nous voulons remercier Mme Carré qui, nous en sommes sûres, a vraiment aidé et protégé cette personne.” (Chambéry, France, 1991)

Prière pour la béatification
de Madame Caroline Carré de Malberg

 

Seigneur, tu as mis au cœur de Caroline Carré
le désir de t’aimer sans rien te refuser.
À son exemple, fais-moi vivre de l’Esprit de Jésus,
en accueillant le quotidien selon le dessein de Dieu.
Daigne manifester sa sainteté en m’accordant,
par son intercession, la grâce de…

Par Jésus-Christ Notre Seigneur.

Amen !

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Plus de témoignages

Madame Carré de Malberg

Caroline et la vocation de nos enfants

J’ai obtenu une grâce par l’intercession de Mme Carré de Malberg. Ma fille ne trouvait pas où s’installer comme médecin, presque deux ans après sa thèse. Après avoir prié Mme Carré, j’ai eu un jour un appel d’un médecin de B. qui la réclamait pour une association. (France, 1990) Ma

Que de grâces différentes

Le jour de la Toussaint 1895, j’apprends qu’une petite fille de la famille est atteinte de méningite et en danger de mort. L’inspiration me vient de faire une neuvaine à notre Première Mère, car les parents sont libres penseurs, et l’enfant, à quatre ans, n’est pas baptisée. […] la mère s’est levée au milieu de la nuit en pensant “Notre fille n’est pas baptisée. Si elle venait à mourir…”

remerciements pour des grâces obtenues

Remerciement pour des grâces obtenues

[…] suite de graves difficultés professionnelles, je me suis retrouvée les nerfs malades […] J’ai prié intensément, demandant à Mme Carré comme signe de son intercession, qu’une solution soit apportée avant la date limite d’octobre où je perdrais tous mes droits. En juillet, j’apprenais que j’étais déclarée invalide. Je crois à une grâce obtenue. (France, 1990)