« Car le Christ, lui aussi, a souffert pour les péchés, une seule fois, lui, le juste, pour les injustes, afin de vous introduire devant Dieu. » (1 P 3, 18)
Ce fut librement qu’il mourut, et non par la force du mal. […] Mon Dieu, Théotime, quel brasier d’amour que voilà ! Avec quelles flammes devrions-nous accomplir les œuvres de l’amour, pour l’amour de notre Sauveur, puisque lui nous en a donné tant de preuves, alors que nous sommes si mauvais ! (TAD X, 17, Pléiade p. 868)
Saurons-nous, nous aussi, comme Marie au pied de la Croix, nous unir au Christ souffrant et le recevoir dans un cœur mendiant de miséricorde ?