En voyant leur réaction, et comment ils se détournaient de leur conduite mauvaise, Dieu renonça au châtiment dont il les avait menacés.” (Jon 3, 10)
Lorsque notre cœur aura commis quelque faute, reprenons-le avec douceur et patience, avec plus de compassion que de passion, en l’encourageant à se réformer. Le repentir qu’il en concevra sera bien plus profond que si nous nous énervons et tempêtons contre nous-mêmes. (IVD III, 9)
Je repère dans mon cœur un vieux remord, un refus de me pardonner, et je décide un geste doux, une parole ou une pensée encourageante qui ira dans le sens de la paix intérieure.