Bien qu’il soit le Fils, il apprit par ses souffrances l’obéissance et, conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du salut éternel. (He 5, 8-9)
Il est toujours meilleur de ne rien désirer, mais se tenir prêt pour recevoir [les charges] que l’obéissance nous imposera ; et fussent-elles honorables ou abjectes, je les prendrai et recevrai humblement sans en dire un seul mot […]. (Entretien XXI Ne rien demander, OEA VI 384)
Je resterai recueillie ce vendredi, je jeûnerai ou poserai un acte de pénitence en faisant mémoire de la passion de Jésus. Je revivrai, selon mes possibilités, le chemin de croix en pensant à ce suprême acte d’amour que représente la mort du Christ.