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Un sacrifice

Vendredi 24 février

Si j’offre un sacrifice, tu n’en veux pas, tu n’acceptes pas d’holocauste.  Le sacrifice qui plaît à Dieu, c’est un esprit brisé ; tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé. (Ps 50, 18-19)

Ainsi agit Notre-Seigneur, à l’égard de ses enfants, veillant continuellement sur leur conduite conduite […]. Si nous ne manquons pas à sa grâce, il parachèvera en nous le bon œuvre de notre salut. (TAD III, 4)                       

Je fixe dès à présent un geste de partage lié à mes efforts de Carême. Ce geste doit correspondre à un réel sacrifice de ma part, me sortir de ma zone de confort : rencontrer une personne qui m’est pénible, soutenir financièrement une bonne cause…

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Pour aller plus loin

rédemption

La rédemption

La notion de rédemption est traditionnellement liée à celles de rachat et d’expiation. Elle insiste sur le fait que, par son péché, l’homme a introduit dans le monde un désordre tel qu’il ne peut lui-même le réparer. Il ne peut pas davantage satisfaire à l’offense infinie faite à Dieu. Seul quelque chose de plus grand que lui pouvait le sauver de la dégradation qui conduit à la mort. Comme les sacrifices de l’Ancienne Alliance se sont révélés impuissants à le délivrer, seul un sacrifice parfait pouvait lui offrir la réconciliation.

Jeanne de Chantal

Sainte Jeanne de Chantal (II)

La vie d’oraison, pour tout chrétien et particulièrement pour nous Filles de saint François de Sales, est vitale.
Que nous dit Jeanne de Chantal sur l’oraison.