« Rester petit enfant, tout contre son Père, qui veille sur nous. Quelle douceur !
Répondre d’un grand Oui à l’appel de la tendresse, à la miséricorde.
Changer de regard sur les épreuves, laisser là notre volonté propre.
Merci pour ces trois jours qui m’ont bouleversée et dont je savoure encore le précieux parfum d’amitié ! » Céline
« En réfléchissant, je pense que si on veut s’en remettre au Christ, ça ne peut être que radical, dans la confiance que nous avons dans l’amour du Père… Père, vous nous avez remuées, secouées, bouleversées… Nous repartons avec nos bagages bien remplis. Il nous faudra sûrement un certain temps pour tout reprendre. Je pense que beaucoup seront d’accord avec moi pour dire qu’il y aura dans nos vies, un « avant » la retraite et un « après ». Nous partons d’ici, bousculées, mais enrichies.
Nous allons donc maintenant vivre l’abandon, avec Jésus, dans les bras du Père, avec confiance, et sans crainte. Merci, père Max de Longchamp. » Marie-Noémi
« Merci encore pour ce temps, malgré une tempête intérieure qui s’est bien apaisée grâce aux échanges avec les unes et les autres. » Isabelle
« Être enfant, c’est la vraie liberté, mais on a le choix : vivre dans la volonté de Dieu ou pas. Quand te dirai-je, Seigneur, ce que Tu veux et non ce que je veux ? » Pierrette
« Je vis très fort ces trois jours qui me font prendre conscience de ce que je suis, même si subsistent des doutes. Eucharisties, prières communautaires, repas en silence, temps personnels à l’oratoire ou dans la nature, je suis pleinement en communion avec toutes. Au-delà des mots, je me sens portée par une force à laquelle je ne peux me soustraire. » Geneviève